Coupé : au 1er parti au I d’argent à deux loups d’azur armés et langués de gueules l’un au-dessus l’autre, au II d'or à trois pals alésés combinés en pointe avec une fasce aussi alésée, le tout de gueules, au 2e d’azur à six losanges de gueules, trois mal ordonnées à dextre et trois mal ordonnées à senestre et au chef denché et cousu de gueules, sur le tout de gueules à l’ours debout de sable langué et armé d'argent.

Elles ont été reprises dansl’Armorial des Villes et des villages de France (2012).

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De gueules à une cloche d'argent, chapé ployé d'or chargé à dextre d'une feuille de chêne de sinople et à senestre d'une feuille de hêtre du même.

Ces armes contemporaines ont été créées par Jean-François Binon ; elles mettent en évidence la cloche considérée comme le symbole du Couserans. Elles ont fait l’objet d’une modification en automne 2020 : la feuille de chêne à droite a cédé sa place à une feuille de hêtre en référence aux habitants des hameaux: las fueilhos de fatch.

Elles ont été recensées dansl’Armorial des Villes et des villages de France (2023).

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D’azur au palmier de sinople fûté et fruité d’or, accompagnés en pointe de deux branches de laurier celle de dextre posée en bande et celle de senestre en barre, liées d’or; au chef d’or chargé de trois pals de gueules

Créées par Jean-François Binon, elles ont été reprises dansl’Armorial des Villes et des villages de France (2022) et sur le site du village (2023) aujourd’hui disparu.

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D’argent au chevron de sinople accompagné de trois mouchetures d’hermine de sable.

D’après Wikipedia, les armoiries de Tourtourse seraient inspirées des armes de Bruno Ruade (ca.1579-1645), évêque de Couserans, qui résida pendant un temps à Tourtouse et restaura la motte féodale.

Elles ont été répertoriées dansl’Armorial des Villes et des villages de France (2023) et sur le site du village (2024).

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Parti, au 1 d’azur à l’église du lieu d’or maçonnée, ouverte et ajourée de sable mouvant du flanc senestre, au 2 de gueules à la croix occitane d’or, le tout sommé d’un chef de sinople chargé de trois coquilles Saint-Jacques d’or.

Création contemporaine de Jean-François Binon, adopté par le Conseil Municipal le 23 février 2012 : « Au premier plan, un parchemin jaune rappelant l’identité officielle de la commune. Au second plan la croix occitane jaune sur fond rouge et le clocher de Noguès monument emblématique du XIIIe siècle sur fond bleu. Le tout sommé par trois coquilles jaunes sur fond vert rappelant le chemin de Compostelle qui traverse la commune. »

Elles ont été recensées dansl’Armorial des Villes et des villages de France (2012).

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Coupé ondé: au 1 parti au I de gueules à saint Michel terrassant un dragon, d’or et brochant sur une croix cléchée, vidée, pommetée de douze pièces du même et défaillante à dextre, au II d’argent à la roue de moulin de sable, au 2 de sinople à la gabarre d'or habillée d’argent.

Création datée de 2020 par Jean-François Binon, héraldiste amateur, originaire de l’Allier, retraité de la fonction publique. On peut lire sur le site de la mairie : « sont représentés : Saint-Michel, patron du village, qui terrasse le dragon, la croix occitane, les gabarres construites à Lacave au siècle dernier, le Salas et la roue, à laquelle nous sommes fortement attachés même si elle n’est pas sur notre commune. »

Elles ont été enregistrées dansl’Armorial des Villes et des villages de France (2023).

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D’azur à la montagne de sinople enneigée d’argent ; au chef tiercé en pal, au 1er d’or à la croix tréflée de gueules, au 2e d’azur à la coquille couchée d’or, au 3e d’or à l’orle de gueules.

Ce blason contemporain, combiné à la devise : « Se pasas per aqui, y retornaras » (« Si tu passes par ici, tu y reviendras ») fait référence à des symboles géographiques locaux : la montagne rappelle le Pic de la Calabasse, la coquille rappelle l’itinéraire du pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle qui passait par le chemin du piémont pyrénéen et l’Orle est repris des armes du Couserans.

Elles ont été recensées dansl’Armorial des Villes et des villages de France (2023).

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Tiercé en pairle renversé: au 1 d’azur à l’église du lieu d’argent, au 2 d’or à trois filets ondés et alésés en fasce de sable, soutenus de trois poissons d’argent, l’un au-dessus de l’autre, au 3 parti au I d’or à l’épi de blé d’argent et à la faux du même brochant en bande et au II d’azur à la tour carrée du lieu d’argent essorée de sable.

Cette création contemporaine fait allusion à différents symboles de la ville : la façade de l’église et la tour d’entrée du château XIIIe de Prat, le Salat et ses poissons. La faux et les épis de blé font référence au côté rural de la commune issue de la fusion de Prat et de Bonrepaux.

Elles ont été recensées dansl’Armorial des Villes et des villages de France (2016).

Ils ont été repris sur le defunt site de l’équipe de rugby locale.

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Écartelé: au 1 palé de gueules et d’or, au 2 d’azur à la montagne de gueules, le pic enneigé d’or, chargée d’un berger de sable accompagné de deux moutons paissant d’argent, au 3 de gueules à la tête d’isard coupée et contournée de sable, ombrée d’argent, au 4e palé d’or et de gueules

Bordes-Uchentein est une ville nouvelle issue de la fusion en 2017 des villages Bordes-sur-Lez et Uchentein. Son blason été imaginé par Jean-François Binon et adopté le 1er mars 2019 et n’a pas encore été recrée et repertorié sur Wikipedia (l’exemple présent ci-avant est extrait du bulletin municipal de Bordes-Uchentein).

Elles ont été répertoriées dansl’Armorial des Villes et des villages de France (2021).